Le gîte du RNAR

Le discours de Raymond Sauterey, Président d'Honneur du RNAR

Il m’a semblé que ma nouvelle dignité de Président d’Honneur du RNAR me conférait la charge de remonter le niveau intellectuel de ce que l’on peut trouver au gîte. A ce titre j’adresse à tous une contribution hautement littéraire regroupant diverses contrepèteries qui n’ont rien d’original mais avec lesquelles j’ai essayé de raconter une histoire.

Chaude ambiance, ce jour-là, à l’Auberge du Congres debout, où l’on servait de la tourte aux cailles. Il y avait là deux laboureurs qui caressaient  le cou de leurs bœufs, un vieux marinier qui grattait le fond de sa quille avec le fer de l’herminette, la femme de l’archéologue, toujours folle de la messe avec le  produit des fouilles curieuses de son mari et un officier de Transmissions, en curé avec une calotte, qui, malgré sa panne de micro , proclamait fièrement « Je n’ai pas de rebord à mes épaulettes ». A un  moment, il fallut sortir prendre l’air, sur la berge du ravin, à cause de la philanthropie de l’ouvrier charpentier. Mais vraiment le vent sifflait trop dans la rue du Quai.

A ceux qui prétendraient que cette histoire n’a ni queue ni tête je répondrai qu’à mon avis elle a beaucoup plus de queue  que de tête !!!



06/05/2009
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